Whilst the weight loss debate rages, this from cyclismag:
La légèreté n'est pas toujours un atout pour un coureur de Grand Tour. Selon le photographe James Startt, le manque de puissance de Lance Armstrong sur le Tour 2009 a une explication : "C'est peut être parce qu'au départ de ce Tour il pesait 2 kilos de moins qu'au départ des sept tours qu'il a dominés" (Vélo Magazine).
Pourtant, pendant des années, Lance Armstrong a justifié son retour au premier plan par une perte de 10 kg. Dans son livre "La grande imposture" (Editions Hugo&Cie), Jean-Pierre De Mondenard donne une petite synthèse de l'évolution du poids du Texan : en 1993, juste après son titre de champion du monde, il pèse 75,1 kg. Au départ du Tour 2003 l'aiguille de la balance s'arrêtait sur 74 kg et sur 77,2 kg en 2004. En février 2009, L.A. comptait sur le Giro pour perdre du poids. "Et j'espère arriver en juillet, au départ du Tour, avec mes 74 kg d'autrefois", avait-il déclaré à L'Équipe.
Si on en croit James Startt, la cure d'amaigrissement a été trop forte.
moins=less. Now where does that leave the (spurious, as the article points out) weight loss argument?